novembre 2014
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Urgence climatique | Urgences éthiques
En 2009, la conférence des Nations Unies sur le changement climatique tenue à Copenhague devait déterminer les objectifs et les solutions à mettre en œuvre à l’échelle internationale pour prolonger le protocole de Kyoto (1997), qui prenait fin en 2012. Depuis l'échec de cette conférence, la situation paraît bloquée, non pas d'abord en raison de désaccords scientifiques, mais parce que les États ne parviennent pas à s'entendre sur les critères de justice à mettre en œuvre. Qui porte la responsabilité de la dégradation du climat? Quelle génération doit en assurer la réparation ou du moins la limitation? Selon quelle clé les États doivent-ils limiter leurs émissions? etc. Paradoxalement pourtant, ces questions éthiques sont rarement thématisées comme telles. Alors que s'annonce la 21e conférence des Nations Unies sur le climat à Paris en 2015, cette journée d'étude, organisée conjointement par l'IRSE et l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), avec l'appui de l'Université et de son Institut des sciences de l'environnement, voudrait pouvoir faire le point et apporter, si possible, sa contribution concrète et pratique à un débat qui nous concerne tous.
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10 ans du réseau Théodoc
A l’occasion du 10e anniversaire de la fondation du réseau européen des écoles doctorales francophones de théologie, deux journées d’étude seront consacrées aux enjeux d’une théologie universitaire dans le contexte d’institutions partenaires dont les profils académiques sont divers et complémentaires, les unes insérées dans une université publique d’État, les autres dans une université Catholique canoniquement érigée par le Saint-Siège.
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Bourse FIIRD 2015-2016
Dans le cadre de l’accord signé, en 2006, par l’Université de Genève (UNIGE) et la Fondation pour la recherche et le dialogue interreligieux et interculturels, cette dernière offre au moins trois bourses post-doctorales pour l’année académique 2015-2016. Elles sont destinées à un programme de recherche établi à l’UNIGE, notamment aux Facultés de théologie et des lettres. Financée par la Fondation, une bourse sera attribuée à chaque jeune chercheur appartenant à une des trois religions monothéistes (judaïsme, christianisme et islam), possédant un doctorat au moment de dépôt du dossier et souhaitant se spécialiser dans le domaine du dialogue interreligieux et interculturel.